LImpôt sur le Patrimoine espagnol se base sur le total des actifs nets de chaque année, et le taux varie de 0,2% à 2,5%. Les contribuables andalous sont taxés sur leur résidence principale au-delà de 300 000 euros, et sur leur patrimoine au-delà de 700 000 euros. Les biens professionnels ne sont pas taxés.
Instauré en 1933 en Espagne, l'impôt sur le revenu a été modifié à de nombreuses reprises, principalement pour tenir compte de l'autonomie grandissante des régions espagnoles. Voici une explication de la perception de l'impôt sur le revenu en Espagne en trois points. Le prélèvement à la source, la déclaration d'impôts et le barème d' sur le revenu en Espagne un prélèvement à la sourceLa France est décidément à la traîne en ce qui concerne le prélèvement. Dans de nombreux pays européens et à l'étranger, ce mode de recouvrement de l'impôt sur le revenu est déjà en place depuis plusieurs années. L'Espagne y compris. L'impôt sur le revenu est prélevé à la source en Espagne depuis 1979 pour lutter contre la fraude fiscale. Cet impôt est directement prélevé sur les salaires par les patrons qui détiennent énormément d'informations très personnelles sur leurs reverse aux régions la moitié des sommes perçues par l'impôt sur le revenu. Cependant, quatre provinces et régions historiques Alava, Biscaye, Guipuscoa et Navarre font exception et reçoivent d'abord l'impôt avant de le reverser à l' plus, chaque région d'Espagne possède sa propre fiscalité ce qui signifie que les montants que l'État reverse aux régions sont différents d’une région à l’autre. Un peu comme les provinces canadiennes, qui possèdent chacune leurs propres taux d' déclaration d'impôt, mais pas pour tout le mondeLes Espagnols ainsi que les résidents étrangers depuis plus de 6 mois doivent remplir une déclaration d'impôts chaque année. Le but est de comparer les montants perçus à la source avec les montants de revenus réels. Le contribuable paie ensuite s'il doit de l'argent à l'État ou effectue une demande de remboursement s'il a trop payé au cours de l' intéressant, les contribuables percevant un revenu inférieur à 20 000 € par an ne sont pas obligés de faire cette déclaration. Ils peuvent néanmoins la faire malgré tout s'ils le personnes domiciliées à l’étranger mais relevant de statuts professionnels dérogatoires les agents de la fonction publique espagnole en activité à l’étranger, les personnes dotées du statut diplomatique et assimilé doivent également s'acquitter de l'impôt sur le revenu dès lors que leur domicile fiscal est situé en Espagne. La notion de domicile fiscal s’apprécie au regard des critères liés à la durée du séjour sur le territoire espagnol supérieure à 183 jours au cours de l’année civile et au lieu où la personne situe le centre principal ou la base des activités/intérêts économiques. Une présomption simple de résidence fiscale est opposable au contribuable dont le conjoint non séparé et les enfants mineurs résident habituellement sur le territoire sont les revenus exonérés d'impôt en Espagne ?Comme en France, la plupart des revenus à caractère social aides, allocations, etc. sont exonérés d'impôt en Espagne. Les contribuables ne sont pas imposés sur les revenus suivants les prestations de sociales pour incapacité permanente absolue ou grande invalidité ; les pensions alimentaires reçues des parents en vertu d’une décision de justice ; les bourses publiques ou versées par des organismes sans but lucratif ; les indemnités de rupture de contrat de travail dans la limite d’un plafond ; certaines prestations et aides à caractère revenus imposables, retenus après déduction des charges engagées pour leur obtention, sont affectés, selon leur nature, soit à l’assiette générale à laquelle s’applique le barème progressif à cinq tranches, soit à la catégorie des revenus de l’épargne soumis à un barème à trois barème d'imposition élevéTrès marquée par la crise financière de 2008, l'Espagne a graduellement augmenté son barème d'imposition depuis. Le barème d'impôt a d'ailleurs connu d'importants changements entre 2020 et 2021 pour les citoyens les plus aisés, avec l'apparition de deux nouvelles tranches à 47 % et 49 % d'imposition. Voici le barème des taux d’imposition sur le revenu en Espagne en 2021Tranches d'impositionTotal0 € à 12 450 €19 %12 451 € à 20 200 €24 %20 201 € à 35 200 €30 %35 201 € à 60 000 €37 %60 001 € à 130 000 €45 %130 001 € à 300 000 €47 %Au-delà de 300 000 €49 %Les revenus sont ainsi perçus dès le premier euro, à la différence de la France où les premiers 10 084 € ne sont pas imposés. Cependant, en Espagne les contribuables percevant moins de 5 000 € sur l’année sont intégralement exonérés d' familial et déductions fiscales en EspagneDepuis 2015, le système de déductions fiscales relatives à l'âge ou au nombre de personnes à charge des contribuables espagnols est fixé ainsi SituationMontant de la majorationminimum personnel5 550 €contribuable de + de 65 ans1 150 € contribuable de + de 75 ans1 400 €enfants à charge2 400 € 1er,2 700 € 2ème,4 000 € 3ème4 500 € à partir du 4èmeascendants à chargemêmes déductions et majorations en fonction de l’âge 65 ou 75 ans mineurs de 3 ans2 800 € personnes en situation de handicapselon le taux d’incapacité et des frais d’assistance de 3 000 € à 12 000 €Par ailleurs, les contribuables qui travaillent en ayant une famille nombreuse ou des personnes en situation de handicap à leur charge bénéficient depuis 2015 d'un impôt négatif d’un montant de 1 200 € ou 2 400 €.Quels sont les impôts fonciers en Espagne ?La taxe foncière ou Impuesto sobre Bienes Inmuebles "IBI"Que vous soyez ou non résident Espagnol, si vous possédez une maison ou un appartement en Espagne, vous êtes redevables de la taxe foncière ou l'impôt sur les biens non meublés IBI sur votre bien immobilier. Comme en France, l'Impuesto sobre Bienes Inmuebles est un impôt local ; il sert à alimenter le budget des municipalités. Pour calculer la taxe foncière, la municipalité attribue aux biens recensés une valeur cadastrale. Cette valeur cadastrale constitue la base d'imposition sur laquelle s'applique un taux d'imposition fixé par la municipalité. Sur ce point, les règles de calcul sont quasiment les mêmes qu'en France, mais les taux d'imposition sont différents. En Espagne, ils varient d'une municipalité à l'autre entre 0,4 % pour les biens immobiliers urbains ou 0,3 % pour les biens immobiliers ruraux1,10 % pour les biens urbains ou 0,90 % pour les biens rurauxLa plupart des municipalités appliquent le taux d'imposition le plus élevé. Tout propriétaire d'un bien au 1er janvier de l'année civile doit s'acquitter de la taxe foncière, généralement payée courant septembre, octobre ou novembre. Les propriétaires qui le souhaitent peuvent opter pour le prélèvement automatique de l' se déroule le paiement de l'impôt en Espagne pour un Français ?L'impôt en Espagne concerne également les non-résidents et les expatriés, dont beaucoup sont Français. Afin d’éviter une double taxation de l'impôt sur le revenu, l'Espagne et la France ont établi une convention fiscale, basée sur la notion de résidence fiscale. Vous êtes considéré comme résident espagnol si vous y vivez plus de 183 jours consécutifs par anvous y avez votre résidence principalevous y avez le centre de vos intérêts économiquesvous avez le statut d’agent de la fonction publique en activité à l’étranger sans y être soumis à un impôt personnel sur l’ensemble de leurs y exercez une activité professionnelle, salariée ou nonLes revenus de source française que perçoit une personne fiscalement résidente d’Espagne font donc l'objet d'une déduction. Déduction qui est plafonnée, elle ne peut excéder le moins élevé des deux montants suivants la fraction de l’IR français payé en France à raison du revenu considéré ; le montant de l’IRPF espagnol, calculé avant la déduction, correspondant aux revenus imposés en obtenir le bénéfice de cette déduction, le contribuable aura à établir auprès des services fiscaux espagnols le montant de l’impôt effectivement payé en France, sur la base des justificatifs vivez en Espagne et avez déclaré des revenus en 2020 ? Découvrez le montant de votre impôt sur le revenu en réalisant une simulation avec Climb !Quels pays européens appliquent le prélèvement à la source ?Outre l'Espagne, tous les grands pays d'Europe ont pourtant déjà opté pour le prélèvement à la source de l'Allemagne, pionnière en la matière, en 1920, les Pays-Bas en 1941, la Grande-Bretagne en 1944, la Belgique en 1962, le Luxembourg en 1967 et l'Italie en 1973, selon l'inventaire des impôts publiés par la Commission européenne et un rapport du conseil des prélèvements obligatoires. Seule la Suisse fait figure d'exception depuis que la France elle aussi a abandonné son système traditionnel pour passer à la retenue à la source depuis le 1er janvier 2019. Figure d'exception en matière d'imposition, Monaco n'applique ni impôt sur le revenu à ses ressortissants, ni impôts locaux ou sur la fortune.► Pour aller plus loin L'impôt sur le revenu aux USA un cas particulierImpôt sur le revenu le cas du MarocImpôt sur le revenu le cas du GabonL'impôt sur le revenu dans différents pays d'AsieComment paye-t-on l'impôt sur le revenu en Irlande ?L'impôt sur le revenu au PortugalImpôt sur le revenu comment le paye-t-on en Grèce ?La Hongrie le pays de l'impôt sur le revenu à taux uniqueImpôt sur le revenu le cas de HaïtiGolfe Persique les pays sans impôt sur le revenuFoire aux questions🤷 Quel est le taux maximal d'imposition ? En France, le taux d'imposition le plus élevé est de 45 %. Ce taux s'applique à la tranche de revenus situés au-delà de 158 122 €. Les précédentes sont de l'ordre de 11 %, 30 % et 41 %.🤝 Comment trouver son taux d'imposition ?Vous trouverez votre taux d'imposition sur votre avis d'impôt par courrier ou en ligne sur votre espace personnel sur Avec la mise en place du prélèvement à la source, vous pourrez également trouver cette information sur votre fiche de paie.🤝 Comment se calcule l'impôt sur le revenu en Espagne ?L'impôt sur le revenu en Espagne répond à un barème progressif par tranches, tout comme l'IR en France. Ainsi, les revenus des contribuables sont imposés à des taux différents selon leur tranche.🤷 Quel est le taux d'imposition en France ?En France, l'impôt sur le revenu est calculé selon un barème progressif fonctionnant par tranches d'imposition les taux de 11 %, 30 %, 41 % et 45 % sont ainsi appliqués à chaque tranche de revenus d'un contribuable, pour payer l'impôt juste.
Retraiteen Espagne, pour le coût de la vie et la proximité L’Espagne demeure une destination plébiscitée des retraités français en raison de la proximité avec l’Hexagone et du coût de la vie très abordable. Le pays n’a pas mis en place de politique fiscale avantageuse pour attirer les étrangers. Le barème de l’impôt est
Impots d’un retraité expatrié au Maroc La fiscalité des expatriés au Maroc parait assez complexe pour de nombreuses personnes que je renseigne au quotidien et pour apporter plus d’information sur les impôts à payer par les expatriés au Maroc, j’ai décidé d’en faire un article, à la fois claire, simple et précis. S’expatrier au Maroc peut être très intéressant sur le plan fiscal. En effet, le pays s’est doté de réels avantages fiscaux afin d’attirer de nombreux expatriés. Et c’est pour les retraités que ces avantages sont les plus attirants, en particulier les retraités français ! Dans cet article je vous explique quels sont les avantages de la fiscalité au Maroc, quel est la procédure à suivre mais surtout comment calculer ce que serait votre future impôt. Le régime fiscal marocain Le régime fiscal marocain est constitué de trois principaux impôts ce sont l’impôt sur les sociétés, qui concerne les revenus et bénéfices réalisés par les sociétés et autres personnes morales ; l’impôt sur le revenu, qui concerne les revenus et bénéfices des personnes physiques et des sociétés de personnes, et la taxe sur la valeur ajoutée TVA, qui s’applique aux dépenses de consommation. En effet, il n’y a pas d’impôt sur la fortune ! Et cela a des conséquences pour les retraités étrangers, comme nous le verrons. Pour tous les retraités, quelle que soit leurs nationalités, l’article 60-I du code général des impôts fait que ces derniers bénéficient de toute façon d’un abattement exceptionnel lors de la détermination de la base imposable. Il est de 55 % sur un montant brut annuel qui ne dépasserait pas les 168 000 dhs, et de 40 % sur la partie dépassant ce dernier montant. A cela s’ajoute ensuite les avantages destinés aux retraités étrangers, et notamment français. Si tout est claire pour vous jusque là, passons à la suite des avantages. Nous verrons ensemble quelques calculs pour les trois situations suivantes un peu plus loin. Les procédures fiscales à accomplir à l’arrivée au Maroc L’année qui suit votre départ au Maroc, vous devez communiquer votre nouvelle adresse à l’étranger au centre des impôts qui vous a envoyé le dernier avis d’imposition. Pour ce faire, il faut souscrire une déclaration n° 2042 accompagnée le cas échéant de son annexe n°2042 NR, comprenant tous les éléments nécessaires à la détermination de votre revenu imposable. Pour la période comprise entre le 1er janvier de l’année précédant l’expatriation et le jour du transfert de votre domicile à l’étranger, il faut indiquer le montant des ressources dont vous avez disposé avant cette date sur la déclaration n°2042. Pour la période postérieure au transfert de votre domicile à l’étranger, il faut indiquer le montant des revenus de source française imposables en France à partir du départ à l’étranger sur l’annexe n° 2042 NR. Votre centre des impôts se chargera ensuite de transférer votre dossier fiscal et votre déclaration au Service des impôts des particuliers des non-résidents. C’est ce dernier qui établira votre imposition sur le revenu, en fonction de son lieu d’imposition. De manière générale, celui-ci est déterminé en vertu de la convention fiscale signée avec le Maroc et selon la nature de la pension reçue publique, privée ou de sécurité sociale. Or, pour le Maroc, la convention fiscale franco-marocaine du 29 mai 1970 détermine que votre pension, y compris de source publique, est imposable au Maroc si votre domicile est fixé dans le pays. En effet, cette convention prévoit que les pensions de retraites ne sont imposables que dans l’Etat où le bénéficiaire a son domicile fiscal. Ce premier point est important. Retraites étrangères au Maroc Être un retraité francais au Maroc n’est pas sans avantage ! En effet, l’article 76 du code général des impôts prévoit une réduction d’impôt de 80 % sur le montant de la retraite étrangère que le bénéficiaire vire définitivement sur un compte en dirhams non convertibles, souscrit auprès d’une banque marocaine. Cette condition est absolument impérative et l’administration fiscale doit recevoir les preuves écrites documents bancaires originaux que les fonds ont été virés sans possibilité de re-transfert. Si la notion de compte bancaire en dirhams non convertible n’est pas clair pour vous alors vous pouvez consulter cette article. Pour bénéficier de cette atténuation, vous devez produire avant la fin février de chaque année une déclaration du revenu global ainsi que les documents suivants Une attestation de versement des pensions établie par le débirentier l’organisme qui paye votre pension ou tout autre document en tenant lieu ; Une attestation indiquant le montant en devises reçu pour le compte du pensionné et la contre-valeur en dirhams au jour du transfert délivrée par l’établissement de banque ou de crédit ou par tout autre organisme intervenant dans le paiement des pensions concernés. A noter que pour déterminer le montant de sa pension imposable en dirhams, il faut prendre en compte le taux de change officiel. Celui-ci est indiqué par la Direction générale des Impôts au Maroc qui chaque année, donne le taux de change qui sert de base de calcul pour les devises étrangères. Malheureusement, leur site internet n’est pas souvent bien mis à jour, et il vous faudra passer par votre consulat pour connaitre le taux de change à prendre en compte. Ils parviennent souvent à récupérer le document officiel et à le publier sur leur site internet. Et sinon voici le numéro de la Direction Générale des Impôts que vous pouvez contacter pour connaitre le taux 05 37 27 37 27 lundi au vendredi de 8h45 à 16h30 et leur site internet disponible ici Un exemple de calcul simple et concret. Rien de tel qu’un exemple pour se rendre compte de ces avantages. Nous allons prendre le cas de René j’aime bien ce prénom 🙂 Ainsi, René est francais, ancien salarié d’une grande entreprise, il habite au Maroc, à Mohammedia car il aime le bord de mer. Il est fiscalement résident au Maroc et a une pension brute de source française qui s’élève à 1600 Euros par mois. René doit payer son impôt sur le revenu au Maroc et non pas en France. A l’année, René percoit 1600 x 12 = 19200 Euros. La première chose à faire est de convertir ce montant en dirhams. Pour cela, vous aurez besoin du taux de change officiel fixé par la Direction Général des Impots comme nous l’avons vu précédemment. Pour les revenus de l’année 2015, le taux de change a été fixé à 10,83 Dhs. René a donc perçu en 2015, une pension brute de 19 200 x 10,83 = 207 936 Dhs. Maintenant, nous allons voir ensemble comment calculer ce que l’on appel la “base imposable”. Le premier abattement dont vous bénéficiez est de 55 % pour les sommes inférieures ou égales à 168 000 dhs 168 000 x 55 % = 92 400. Le deuxième abattement dont vous bénéficiez est de 40 % pour le reste soit 207 936 – 168 000 x 40 % = 15 974,4 Dhs. Le montant total de nos abattements est donc de 92 400 + 15 974,4 = 108 374,4 Dhs La base imposable est donc de 207 936 – 108 373,4 = 99 563 Dhs Maintenant que nous connaissons la base imposable de René, voici le barème d’imposition général sur les revenus IR avec notamment les sommes à déduire. Nous allons utiliser ce barème à partir de maintenant. René a donc maintenant trois solutions qui s’offrent à lui. Il décide de ne rien transférer de sa pension au Maroc. Il a une base imposable de 99 563 Dhs et un taux qui s’y applique de 34% car il se situe dans cette tranche sur notre tableau. Le calcul est donc le suivant 99 536 x 34% – 17 200 = 16 642,24 Dhs Le montant de son impôt sur le revenu est de 16 642 Dhs mais René peut encore bénéficier d’abattement supplémentaire dans une autre situation. Il décide de transférer une partie uniquement de sa pension est de garder le reste en France pour rembourser quelques crédits, payer sa cotisation à la CFE, des voyages et cadeaux de noël…, soit à l’année 15 600 Euros qu’il transfère au Maroc sur son compte bancaire en dirhams non-convertible et 3600 Eu qu’il garde sur son compte en France. Selon notre taux de change, ses 15 600 Euros représentent 15 600 x 10,83 = 168 948 Dhs Puisqu’il transfère ce montant sur un compte bancaire en dirhams non-convertible, René bénéficie d’un abattement supplémentaire de 80%. On calcule donc la réduction d’impôt de 80 % sur la partie transférée de la pension uniquement cette partie peut en bénéficier. 16 642 x 168 948 / 207 936 x 80% = 10 817 Dhs Après son abattement supplémentaire de 80%, René va donc devoir payer un impôt final de 16642 – 10817 = 5 825 Dhs d’impôts sur le revenus soit au taux de change de 10,83, un impôt final de 538 Euros. Cela est extrêmement avantageux, non ? René décide de transférer au Maroc l’intégralité de sa pension de retraite sur son compte bancaire en dirhams non-convertible toujours le cas pour bénéficier de l’abattement de 80% alors 16 642 x 80% = 13 314 Dhs ceci est le montant de son abattement supplémentaire. Son impôt à payer au Maroc sera de 16 642 – 13 314 = 3328 Dhs. Pour conclure, comme vous le voyez l’imposition au Maroc est extrêmement avantageuses pour les retraités qui s’expatrient au Maroc mais également pour les actifs. Le Maroc offre de nombreux avantages fiscaux mais vous allez avoir un peu de paperasse à faire, c’est la contrepartie d’une meilleure vie au soleil. Au Maroc, vous n’aurez pas d’ISF Impôt Sur la Fortune à payer, Il n’existe pas de droits de succession pour les biens présents sur le sol marocain. Les plus values sur l’immobilier sont imposées à 20%. Pour les retraités achetant une résidence principale neuve, ils sont exonérés de la taxe d’habitation pour une durée de 5 ans. Il y a une exonération sur la CSG et le CRDS, dans le cadre de revenus issus en France mais transférés au Maroc Franchise totale des taxes et droits douaniers dans le cadre du droit à l’importation des effets personnels et objets mobiliers ayant été acquis 6 mois avant leur entrée au Maroc dans le cadre de votre déménagement par exemple. les accords franco-marocains prévoient une prise en charge en matière de soins, selon un protocole précis Sachez que c’est à vous d’aller vous déclarer à la Direction Générale des Impôts pour payer votre impôts, vous ne recevrez pas d’avis d’imposition. La convention franco-marocaine invite également les administrations fiscales des deux pays à l’échanges d’information donc faites bien attention à cela. Prenez donc bien le temps de calculer correctement votre impôt, certains comptables peuvent vous y aider si vous avez une situation plus complexe. Réfléchisez à votre situation pour savoir quel scénario serait le plus idéal pour vous au niveau du transfert de votre pension. Comme on l’a vu avec René, plusieurs scénarios sont possible. Vous pouvez aussi rapatrier 70% sur votre compte en dirhams convertible, en garder 20% en France et 10% sur un compte en dirhams convertible. A vous de faire vos mathématique 🙂 Voici la convention fiscale franco-marocaine si vous souhaitez la lire convention fiscale
Enrevanche, si un salarié déplacé par son employeur ou un Français qui crée une société, a une feuille de salaire, il peut, s’il n’a pas résidé pendant les dix dernières années en Espagne, s’affilier, pendant six ans maximum, au Beckham et ne payer que 24 % d’impôt sur ses revenus en Espagne, avec une exemption totale d’impôt sur ses avoirs et revenus hors d’Espagne.
Une retraite dorée dans un pays ensoleillé le combo parfait. Les pensionnés belges, qui sont de plus en plus nombreux à s’expatrier sous des cieux plus cléments, ont des motivations multiples. Il convient évidemment de distinguer ceux qui retournent au pays – comme les Italiens ou les Marocains – et les autres, qui cherchent à profiter du soleil, d’une meilleure qualité de vie, d’un coût de la vie modéré, de prix immobiliers accessibles et last but not least, d’une fiscalité attractive. La majorité des pensionnés ne s’aventurent en général pas très loin de leur base, car ils souhaitent rester proches de la famille restée au pays idéalement à deux ou trois heures de vol en low cost mais également pouvoir rentrer facilement en cas de pépin de santé. Des critères auxquels répondent parfaitement des destinations comme la France et l’Espagne, qui accueillent le gros des troupes de retraités belges. Mais qu’implique une installation à l’étranger? Outre la fiscalité, quels sont les critères à prendre en considération et les pièges à éviter? "Il faut absolument éviter de se focaliser sur le taux facial de taxation des prestations de pension et prendre en compte de manière plus générale la qualité et le coût de la vie à l’étranger, ainsi que d’autres prélèvements et taxes. Sans oublier les droits de succession qui dépendent du domicile fiscal du défunt", cadre d’emblée Nicolas Tancredi, avocat fiscaliste au cabinet Younity. 10 % Le Portugal a instauré une "flat tax" qui s'appliquera aux nouveaux arrivants, à dater du 31 mars 2021 Imposable en Belgique ou à l’étranger? Si les pensionnés du secteur public enseignants, militaires, fonctionnaires, etc. restent toujours imposables en Belgique, pour les indépendants et les salariés du privé, tout dépend de l’existence ou non de conventions préventives de la double imposition bilatérales signées entre la Belgique et le pays de résidence. Dans les pays limitrophes Allemagne, Luxembourg, Grande-Bretagne, Pays-Bas ainsi qu’en Grèce, par exemple, les pensions sont imposables en Belgique. En revanche, dans les destinations de prédilection de nos retraités, le prélèvement est généralement effectué par l’État de résidence. Cotisations sociales et coût des soins de santé Trois types de retenues s’appliquent à la pension brute. Outre le précompte professionnel, vous devrez payer une cotisation à l’assurance maladie-invalidité 3,5% et une cotisation de solidarité 0 à 2% en fonction des revenus. Celui qui a une pension belge paiera des cotisations sociales en Belgique uniquement. S’il est affilié à la sécurité sociale de son pays de résidence, les dépenses des soins de santé qui lui sont prodigués sur place seront refacturées à la Belgique. "Par contre, s’il touche une petite pension de son pays de résidence, par exemple parce qu’il y a travaillé à la fin de sa carrière ou y a commencé une petite activité d’indépendant, il paiera ses cotisations sociales dans son pays de résidence! Or, chez nous, les cotisations sociales sur les pensions sont assez faibles, maximum 5,55% dans le cas où la cotisation de solidarité atteint 2%. En France c’est 8,2%", met en garde Hugues du Roy, spécialiste des questions fiscales à l’Union francophone des Belges à l’étranger UFBE. À côté de la fiscalité, les soins de santé sont un élément essentiel à prendre en considération. "Car en la matière, la qualité, le coût et les délais sont essentiels, a fortiori quand on prend de l’âge. Au Portugal et en Espagne par exemple, les pensionnés sont souvent amenés à contracter une assurance qui leur garantit l’accès à des cliniques et médecins privés, ce qui coûte très cher", met en garde Hugues du Roy. Corinne Merla, avocate spécialisée dans les pensions cabinet Younity conseille d’ailleurs aux pensionnés qui poursuivent à titre individuel l’assurance-hospitalisation dont ils bénéficiaient via leur employeur de s’assurer de ce qu’il adviendra de cette couverture extra-légale en cas de départ dans un pays considéré comme plus à risque augmentation de prime, exclusions, voire refus. N’oubliez pas la pension complémentaire Au moment du versement du capital de pension complémentaire, vous devez payer la cotisation Inami 3,55%, la cotisation de solidarité 0 à 2% ainsi que le précompte professionnel qui varie de 10 à 16,5% selon l’âge, les contributions de l’employeur et celles du travailleur ou une rente. "Une disposition du code de l’impôt sur les revenus prévoit que l’on est censé avoir touché son capital de pension complémentaire la veille du jour de son départ à l’étranger", insiste Corinne Merla. "À une époque, certains quittaient en effet le pays au moment opportun. Entendez juste à temps pour profiter de conventions préventives de double imposition prévoyant la taxation de la pension dans l’État de résidence..." Le fisc, soucieux d’éviter toute forme de fraude au domicile justifiée par des considérations purement fiscales, a donc mis en place des procédures pour éviter que l’impôt sur des capitaux financés avec l’aide de l’État NDLR, l’employeur qui a cotisé pour l’assurance-groupe a profité d’incitants fiscaux lui échappe. "Il faut dès lors être extrêmement prudent lorsqu’on change sa résidence fiscale, car le fisc belge vérifie le timing et la réalité de la situation sur 24 mois", explique Nicolas Tancredi. Le pensionné qui partirait s’installer en Espagne pour y toucher son capital de pension complémentaire avant de revenir chez nous six mois après risque donc bien d’être taxé une deuxième fois en Belgique! Succession internationale les aspects civilsEn vertu d’un Règlement européen de 2015, les aspects civils des successions internationales sont régis par une loi unique. Par défaut, c’est le critère de la résidence habituelle du défunt qui détermine la loi applicable à la succession. L’ensemble de la masse successorale – biens mobiliers et immobiliers – est alors soumis à cette loi. Concrètement, un Belge qui réside en France, qui possède une propriété en Belgique et une résidence secondaire en Espagne, verra l’ensemble de sa succession régie par le droit français. Pour déterminer la résidence habituelle, on vérifie le pays avec lequel le défunt avait les liens les plus étroits et les plus stables. Il est toutefois possible de s’écarter de la règle générale pour choisir le droit de sa nationalité au moment du choix ou du décès. Si l’on reprend l’exemple du Belge qui réside en France, l’ensemble de sa succession sera dans ce cas soumis au droit de l’état de sa nationalité le droit belge. Cette liberté de choix peut être intéressante à des fins de planification puisqu’il existe des différences sensibles. Le droit français permet, dans certaines circonstances, de déshériter totalement son conjoint. En Espagne, il n’y a ni droits de donation ni droits de succession à payer pour un achat scindé. Par contre, un impôt de transfert jusqu’à 10% selon la région est dû lorsqu’un bien immobilier change de propriétaire. Portugal Récemment, le Portugal a réalisé une percée spectaculaire dans les statistiques. Le statut de résident non habituel RNH, qui y était proposé depuis 2013, permet aux retraités de ne payer aucun impôt sur ses revenus de pension pendant les dix premières années, à condition de résider au moins 6 moins par an sur place. Un régime particulièrement favorable que – par souci d’équité avec les pensionnés locaux –, le nouveau gouvernement de gauche a décidé de remplacer par une "flat tax" de 10% applicable dès le premier euro. "Seuls les nouveaux arrivants seront concernés par cette flat tax, à dater du 31 mars 2021", précise Grégory Homans, avocat associé gérant du cabinet Dekeyser & Associés. Cette mesure pénalise donc surtout les plus petites pensions. Pour les autres, l’opération sera toujours profitable, d’autant que le coût de la vie sur place est léger. Mais attention, "après avoir bénéficié de l’exonération ou de la flat tax durant 10 ans, les pensionnés expatriés seront soumis à l’impôt portugais qui est plus lourd que le nôtre", avertit Hugues du Roy UFBE. Pour un couple avec un revenu annuel de euros, la taxation passera ainsi de 10% à 24,04%... Mais évidemment, sur place le coût de la vie sera plus léger. Le Portugal offre toujours des perspectives intéressantes en termes de planification successorale. "Depuis 2004, les droits de succession et les droits de donation ont été abolis au Portugal. Il existe toutefois un droit de timbre de 10% ou 10,8% dû lors du transfert de biens portugais meubles et immeubles. Mais des exonérations spécifiques sont prévues lors du transfert au conjoint ou à ses enfants", rappelle Grégory Homans. France En France, les barèmes d’imposition sont plus progressifs et plus faibles que chez nous. On paie l’impôt sur le revenu à partir de euros par an et la tranche la plus élevée est atteinte à partir de euros 45% contre… euros en Belgique 50%. "Si le traitement fiscal des pensions privées peut être plus attrayant en France, dans le cadre d’un projet de délocalisation, il est prudent de tenir compte d’autres facteurs fiscaux", souligne Me Homans. Lequel cite les droits de mutation à titre gratuit dont le taux atteint jusqu’à 45% en cas de donation/legs au profit de ses enfants il existe un système d’abattements fiscaux/d’exonération; l’impôt sur la fortune immobilière IFI dont le nouveau résident français sera redevable sur son patrimoine immobilier mondial. Le taux de l’IFI est progressif et peut atteindre 1,5%; le traitement fiscal des autres revenus et plus-values; les prélèvements sociaux sociaux français. Une disposition du code de l’impôt sur les revenus prévoit que l’on est censé avoir touché son capital de pension complémentaire la veille du jour de son départ à l’étranger. Corinne Merla Avocate, spécialiste des pensions au cabinet Younity Espagne "La convention bilatérale signée avec la Belgique prévoit le transfert de l’impôt à l’Espagne, où il est plus lourd mais surtout très variable d’une région à l’autre", résume Hugues du Roy, qui relève également le risque de "harcèlement" du pensionné par les autorités locales qui "se trompent et tentent par exemple d’imposer des fonctionnaires qui ne relèvent pas de leur pouvoir d’imposition." Italie Dans certaines régions pauvres, comme la Calabre ou les Pouilles, l’impôt est réduit à une "flat tax" similaire à celle que le Portugal a introduite. Alors qu’en Belgique, les pensions ne sont pas imposables en dessous d’un certain seuil euros pour un isolé puis imposées à 50% au-delà, une flat tax dès le premier centime telle qu’appliquée en Italie est donc pénalisante pour les faibles pensions. L’avocat Grégory Homans précise que "pour les plus hauts revenus, l’Italie a instauré, depuis 2017, un régime facultatif de taxation forfaitaire euros en vertu duquel le nouveau résident italien pourra, à certaines conditions, être exonéré d’impôt italien sur l’ensemble de ses revenus et plus-values étrangers revenus et plus-values sur le patrimoine financier et immobilier, revenus professionnels – en ce compris, les pensions".
Pourinformation,nous venons de vendre notre bien en France, donc : Plus de logement sur le territoire français. Pour une courte période, aurons une adresse chez ma fille (suivi du courrier seulement). Sommes à la retraite (mari sans revenu). Pour ma part, je touche une retraite française et également une retraite de source étrangère car j'ai travaillé 15 ans
DEVIS GRATUIT AVOCAT QUELS SONT LES IMPOTS A PAYER EN ESPAGNE EN TANT QUE NON RESIDENT Comment calculer le montant de votre impôt de non résident en Espagne ? En Espagne, l'imposition est différente de votre pays. La fiscalité pour les contribuables est différentes selon si vous êtes résidents ou non-résidents. Les taux d'imposition de non-résidents changent tous les ans, le montant à régler peut effectuer une variation positive comme négative. L'impôt sur le revenu en Espagne est un impôt progressif constitué de tranches et de taux d'imposition. C'est un barême fiscal. L'impôt en Espagne sur le revenu est prélevé à la source en Espagne depuis 1979 pour lutter contre la fraude fiscale. Cet impôt est directement prélevé sur les salaires des travailleurs, des employés. Afin d’éviter une double taxation de l'impôt sur le revenu, l'Espagne et la France ont établi une convention fiscale. Vous êtes considéré comme résident espagnol si vous y vivez plus de 183 jours consécutifs par an. Pour les résidents espagnols votre déclaration de revenus doit être transmise à l'administration fiscale sur Agencia Tributaria avant le 30 juin de l'année suivante. Si votre revenu annuel ne dépasse pas 22000 euros, vous serez exempté de l'obligation de remplir une déclaration d'impot. Impôts en Espagne Les impôts en Espagne à payer quand on est propriétaire d'un bien immobilier sont L'Impôt sur le revenu, la taxe foncière et l'Impôt sur le Patrimoine en Espagne. Le système fiscal de l'impôt en Espagne en résumé est le suivant l'impôt sur le revenu espagnol est retenu à la source sur les salaires. Le contribuable fait une déclaration individuelle ou une déclaration commune s’ils vivent à deux. L'impôt sur le revenu en Espagne est plus élevé qu'en France. L'impôt espagnol est calculé dès le premier euro. Il n'y a donc pas de seuil d'exonération en Espagne sauf pour les contribuables percevant moins de 5 000 euros sur l’année sont intégralement exonérés d'impôts. Impots en espagne pour un retraité francais La France et l'Espagne ont établi une convention afin d'éviter une double imposition. Si vous passez plus de 183 jours en Espagne ours de présence physique sur le territoire au cours d’une année fiscale, vous êtes considéré comme "ressortissant espagnol". Les pensions de retraite versées par l'Etat français restent alors imposables en Monsieur X, de nationalité française, est fonctionnaire de l’État Français. Il résidait en France pendant la période d’activité et décide d’aller prendre sa retraite en Espagne. Ses pensions publiques de source française resteront imposées en France ; son dossier est alors pris en charge par un centre des impôts spécial, le Centre des Impôts des Non-résidents . Impôt de Non Résidents en Espagne Qu'est-ce que l'IRNR en Espagne ? l'IRNR Impuesto sobre la Renta de No Residentes est l'impôt sur le Revenu des Non Résidents en Espagne. Tous les étrangers non résidents en Espagne doivent déclarer au centre des impôts Hacienda les revenus financiers, professionnels, salaires, rentes qu'ils ont dégagé en Espagne au cours de l'année et/ou le bien immobilier qu'ils ont acheté. En tant que propriétaire cette déclaration est à remplir que vous dégagiez ou non des revenus locatifs. Vous êtes redevable de l'impôt espagne non résident. Quelle base d'imposition et quel taux d'imposition d'IRNR ?. Dans le cas où vous avez acheté un bien immobilier en résidence secondaire ou pour votre jouissance personnelle, que vous y alliez ou non, la base imposable est constituée par 1,1% de la valeur cadastrale du bien immobilier. Dans le cas de revenus locatifs en Espagne , la base imposable est constituée par la différence entre les revenus locatifs perçus et les frais engagés dans la propriété. Le taux d'imposition est le même dans les deux cas. Ce taux d'impot à changé avec la réforme fiscale espagnole de 2014 2012 - 2013 - 2014 24,75%jusqu'à juillet 2015 20%depuis juillet 2015 19,50%2016 19%2017 19%2018 19%2019 19%2020 19%2021 19%2022 19% Comment déclarer l'impot IRNR en Espagne ? Contrairement à la Taxe Foncière IBI qui est réclamée par la mairie du lieu où se situe le bien immobilier, c'est à vous de calculer, de remplir et de présenter chaque année ou chaque trimestre le formulaire de déclaration d'impot d'IRNR au centre des impôts. Vous pouvez cependant nommer un représentant fiscal pour entreprendre cette démarche. Notre avocat peut gérer pour vous cette formalité. Impôt en Espagne Taxe Foncière en Espagne Impuesto sobre Bienes Inmuebles "IBI" Qu'est-ce que la taxe foncière "IBI" en Espagne ? En tant que propriétaire d'un appartement ou d'une maison en Espagne, et que vous soyez résident ou non résident en Espagne, vous devez payer un impôt en Espagne une taxe foncière sur votre bien immobilier. Il s'agit d'un impôt local exigé par la municipalité Comment se calcule la taxe foncière en Espagne ? Tous les biens immobiliers sont recensés par la municipalité qui leur attribue une valeur cadastrale. Cette valeur cadastrale constitue la base d'imposition sur laquelle s'applique un taux d'imposition fixé par la municipalité, la taxe fonçière. Quel taux d'imposition pour l'impot IBI en Espagne ? Le taux d'imposition varie selon les municipalités entre 0,4% pour les biens immobiliers urbains ou 0,3% pour les biens immobiliers ruraux et 1,10% pour les biens urbains ou 0,90% pour les biens ruraux. La plupart des municipalités appliquent le taux d'imposition le plus élevé. Comment et quand paye-t-on l'impot IBI ou taxe foncière ? L'impot IBI est un impôt annuel qui est dû par la personne qui est propriétaire du bien au 01 janvier. Cet impôt est généralement exigé dans les mois de septembre, octobre ou novembre. Il peut aussi être domicilié sur le compte bancaire pour un prélèvement automatique. Le bien immobilier reste attaché au paiement de la totalité des reçus de l'IBI. Il est conseillé de faire appel à un avocat espagnol pour s'assurer le paiement de tous les impôts Impôt sur le Patrimoine en Espagne Impuesto sobre el Patrimonio "IP" Qu'est-ce que l’Impôt sur le Patrimoine en Espagne ? En France il correspond à l’Impôt sur la Fortune ISF. Il s’agit de taxer le patrimoine constitué sur le territoire espagnol, soit l’ensemble des actifs du contribuable, qu’ils soient d’origine financière, mobilière ou immobilière liquidités sur le compte bancaire, biens immobiliers, épargne, valeurs mobilières, assurance vie, véhicules, objets d’art, etc. La valeur de l’ensemble est arrêtée au 31 décembre de l’année en cours et doit être déclarée l’année suivante. Il existe toute une série de biens exemptés, notamment la résidence principale jusqu’à Comment se calcule l’Impôt sur le Patrimoine en Espagne ? On établit la somme des biens puis on déduit les charges et les dettes pour obtenir la base imposable. Pour cela, il faut déterminer la valeur de chaque bien. Par exemple pour un bien immobilier on prendra en compte la valeur la plus importante entre Valeur cadastrale Valeur constatée par l’administration fiscale Valeur d’acquisition De cette base imposable on peut soustraire le montant du seuil d’exonération établit par chaque communauté autonome ou à défaut, le seuil national de 700000€. Puis on applique le taux d’imposition progressif établit là aussi par chaque communauté autonome ou à défaut celui de l’Etat, pour obtenir le montant de la contribution à payer. A savoir que si un couple est propriétaire d’un bien à il n’aura pas à payer d'impôt puisque la part de chacun reste inférieure à Par ailleurs, cet impôt est conjointement limité avec l’impôt sur les revenus de manière à ce que la charge fiscale supportée par le contribuable ne dépasse pas un certain pourcentage des revenus obtenus durant l’année. En Espagne, les non-résidents doivent-ils payer l’Impôt sur le Patrimoine ? Tous les étrangers qui ne résident pas en Espagne doivent payer l'impôt de l’ISP, qu’ils soient ressortissants de l’UE ou pas. Par principe la direction générale des finances publiques espagnole, la AEAT Agencia Estatal de Administracion Tributaria stipule que les résidents de l’UEdoivent notifier sur le formulaire de déclaration la communauté autonome où se trouve la plus grande partie de leurs biens en Espagne et être imposés selon les règles de cette région. Certaines régions ont adopté un règlement très favorable comme Madrid qui permet une réduction fiscale de 100% de l’impôt sur le patrimoine, tandis que d’autres comme la Catalogne ont baissé le seuil d’exonération à ou comme les Baléares qui pratique un taux d’imposition plus élevé que la norme nationale. L’Impôt sur le Patrimoine, provisoire ou permanent ? L’Impôt sur le Patrimoine en Espagne a d’abord été établi en Espagne en 1977 avec un caractère exceptionnel et provisoire, puis de manière permanente à partir de 1991. En 2008, cet impôt n’ayant pas permis d’atteindre les objectifs qui avaient été fixés, à savoir une plus grande efficacité dans l'utilisation des actifs et la redistribution de la richesse, l’Etat décide de l’annuler par la mise en place d’un crédit d’impôt de 100% du montant de la taxe. Compte tenu de la crise, cette taxe a été rétablie afin d’obtenir des recettes supplémentaires, en principe de manière provisoire pour les années 2011 et 2012 mais finalement reconduite d’année en année jusqu’en 2016. Le patrimoine de 2016 reste donc à déclarer pour 2017. Selon la loi en vigueur cet impôt espagnol devrait être supprimé en 2017 puisqu’il est à caractère provisoire et serait donc compensé par le crédit d’impôt à 100%. Reste à savoir s’il sera reconduit. En mai 2016 la Fondation Impôts et CompétitivitéFundación Impuestos y Competitividad constitué de 8 prestigieux cabinets d’avocats experts en conseil fiscal ont présenté une étude pour la suppression de cet impôt, ou s’il devait être conservé, pour que le seuil d’exonération soit plus élevé et généralisé à toutes les communautés autonomes, ainsi que l’échelonnement du taux d’imposition qui ne devrait pas être supérieur à taux d’imposition en France. Affaire à suivre donc…En 2022 c'est toujours d'actualité. En savoir plus sur les autres démarches à faire quand on achète un appartement ou une maison en Espagne Cabinet avocat en Espagne A ACHAT IMMOBILIER EN ESPAGNENotre expertise à votre service Avocat, Notaire, Formalités, nie ... Avocat Immobilier Achat Immobilier Espagne Accompagnement Formalités V Démarches Achat en Espagne
| Αቱθμու ποፊеснիሀሱ | Аጉеմищሪмօ α | Аղኡтиላիг утрበ емоሟеለеሦ | Ցከችι νакеврጪф уሳը |
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| ጦзвусраπ φ | ሗкусιтυсвι йещα | ዕግатв ωтро з | Ктозι пеηሕ |
| По вυሬаслуσխጇ | Гл одрጧчил ኬщሱջሳሆуኝα | Иሎօ ዛу ጌтвуσеглու | Θժ በзехрու еф |
| А րу аֆ | ኽնεл γорато | Уцоፊа а ֆ | Иኻωչу γዖгուዓаֆиж |
Bonjoura tous. De parents Espagnol ayant émigrés en France où je suis né, j'ai travaillé 22 ans en France puis 17 ans en Espagne. Aujourd'hui agé de 60 ans, j'ai atteint l'age légal de la retraite pour la France où l'on peut instruire ma
Les obligations déclaratives et le traitement fiscal des revenus des personnes qui vivent en Espagne et ont des liens avec la France dépendent de plusieurs conditions, qui sont définies par le droit interne espagnol / français et conventionnel la convention fiscale franco-espagnole du 10 octobre 1995. Au plan des principes, il y a lieu de s’intéresser tout d’abord à la situation de la personne au regard de sa résidence fiscale en Espagne ou en France ? I Ensuite, il est utile de vérifier les règles de compétence applicables aux revenus perçus par le contribuable. La convention fiscale franco-espagnole a notamment pour objet de répartir le pouvoir d’imposer entre la France et l’Espagne, selon des modalités qui varient en fonction de la nature du revenu considéré II. Enfin, si un même revenu fait l’objet d’une imposition à la fois en France et en Espagne l’article 24 de la convention fiscale franco-espagnole apporte des précisions sur les conditions et limites de l’élimination de la double imposition III. Par ailleurs, il est recommandé de vérifier si et dans quelle mesure une personne qui vit en Espagne est concernée par l’obligation déclarative portant sur les biens et droits qu’elle possède à l’étranger IV. Pour finir, les coordonnées des services compétents pour apporter des renseignements complémentaires sont indiquées en bas de cette page V, ainsi que des informations sur les principaux thèmes fiscaux susceptibles de vous intéresser VI. 1- Comment déterminer la résidence fiscale d’une personne ? 2- Où les revenus doivent-ils être déclarés et où sont-ils imposables ? 3- L’élimination de la double imposition en Espagne 4- Qu’en est-il de l’obligation d’information concernant les biens et droits possédés à l’étranger Modelo 720 » ? 5- Où trouver les autres informations fiscales susceptibles de vous intéresser ? 6- Auprès de quels services vous renseigner en fonction de votre situation ? La résidence fiscale est déterminée par le droit interne et conventionnel, sur la base d’une série de critères alternatifs. En ce qui concerne la réglementation en vigueur en Espagne, l’article de la loi relative à l’impôt sur le revenu des personnes physiques IRPF fixe ainsi les conditions en vertu desquelles une personne est considérée comme ayant sa résidence fiscale dans cet État elle y séjourne pendant une période supérieure à 183 jours au cours de l’année civile ; elle y a établi le centre principal ou la base de ses activités ou intérêts économiques directement ou indirectement. En ce qui concerne le droit français, l’article 4 B du code général des impôts qualifie comme ayant leur domicile fiscal en France les personnes qui ont en France leur foyer ou le lieu de leur séjour principal ; exercent en France une activité professionnelle, salariée ou non à moins qu’elles ne justifient que cette activité y est exercée à titre accessoire ; ont en France le centre de leurs intérêts économiques ; ont le statut d’agent de la fonction publique en activité à l’étranger sans y être soumis à un impôt personnel sur l’ensemble de leurs revenus. Dans les hypothèses où, compte tenu de ces conditions, une même personne est susceptible d’avoir son domicile fiscal en France aussi bien qu’en Espagne, l’article 4 de la convention fiscale franco-espagnole apporte une méthodologie permettant de résoudre les conflits, sur la base des critères conventionnels suivants lieu où la personne dispose d’un foyer d’habitation permanent ; État avec lequel les liens personnels et économiques sont les plus étroits centre des intérêts vitaux ; État où la personne séjourne de façon habituelle ; État dont elle possède la nationalité. Si le conflit persiste, les États signataires de la convention tranchent la question d’un commun accord dans le cadre de la procédure amiable à la demande du contribuable sur le fondement de l’article 26 de la convention. 2- Où les revenus doivent-ils être déclarés et où sont-ils imposables ? Les personnes fiscalement résidentes d’Espagne sont en principe soumises dans cet État à une obligation fiscale illimitée, c’est-à-dire portant sur l’ensemble de leurs revenus indifféremment de leur origine, sous réserve des dérogations prévues par la convention fiscale franco-espagnole du 10 octobre 1995. Cette convention établit les règles de compétence fiscale applicables aux revenus en fonction de leur nature et contient certaines dérogations au principe de l’imposition dans l’État de résidence. A titre d’exemple, voici une liste des principaux revenus énumérés par la convention fiscale franco-espagnole, et les règles de compétence fiscale qui leur sont applicables. Il est rappelé que ces indications sont basées sur l’hypothèse d’un contribuable fiscalement résident d’Espagne qui perçoit des revenus de source française salaires l’article 15 stipule que ces revenus sont imposables exclusivement en Espagne, sauf, sous certaines conditions, si l’activité salariée est exercée en France auquel cas l’imposition est partagée ; revenus fonciers ou plus-values immobilières les articles 6 et 13 de la convention posent le principe de l’imposition partagée entre la France où se trouve l’immeuble et l’Espagne ; revenus de capitaux mobiliers les articles 10 et 11 visent respectivement les dividendes et les intérêts, imposés à la fois à la source en France au taux conventionnel plafonné et en Espagne ; les rémunérations publiques article sont imposées exclusivement dans l’État qui les verse France, sauf si le bénéficiaire ne satisfait pas aux conditions liées à la nationalité, auquel cas l’imposition a lieu exclusivement en Espagne ; la même règle s’applique aux pensions de retraites publiques article ; en revanche, les pensions privées ne sont imposables que dans l’État de résidence du bénéficiaire, conformément à l’article 18 de la convention. En tout état de cause, une fois la compétence fiscale déterminée dans un État sur la base des clauses de la convention fiscale franco-espagnole, il est nécessaire de se référer aux règles de droit interne de cet État pour connaître les conditions, limites et modalités d’imposition effective des revenus. En particulier, il se peut que, même si un État dispose, en principe, de la compétence pour imposer un revenu catégoriel au sens des principes fixés par la convention fiscale, il accorde dans la pratique une exonération sur le fondement des dispositions du droit interne en vigueur. Par ailleurs, il est rappelé que les revenus soumis à une imposition à la fois en France et en Espagne ouvrent droit à l’application de la mesure d’élimination de la double imposition prévue par l’article 24 de la convention fiscale franco-espagnole voir précisions sous le point III. Au plan pratique, les revenus imposables en Espagne sont généralement à déclarer à l’IRPF dans le cadre de la campagne déclarative annuelle. Les règles d’imposition prévues pour les résidents fiscaux d’Espagne prévoient le bénéfice d’un certain nombre d’abattements, déductions et réductions d’impôt. Ceci étant précisé, il existe dans le système fiscal espagnol des seuils qui déterminent l’obligation de présenter, ou non, une déclaration d’IRPF. En particulier s’agissant des salaires de source espagnole, la règle actuelle établit à € ou € en cas de pluralité d’employeurs le montant des revenus qui doivent effectivement être déclarés l’année suivant celle au cours de laquelle ils ont été perçus et donc imposés par voie de prélèvement à la source. Des seuils différents s’appliquent en fonction de la nature des autres revenus concernés revenus de capitaux mobiliers, revenus immobiliers et subventions, plus-values etc…. En France, les revenus peuvent être soumis à diverses modalités d’imposition principe application de l’IR sur la base des éléments déclarés dans le cadre de la campagne déclarative annuelle ; particularités certains revenus sont susceptibles de faire l’objet d’une retenue ou d’un prélèvement à la source, libératoire ou non salaires, pensions publiques, rémunérations de prestations sportives, plus-values immobilières etc…. Enfin, le statut de résident fiscal d’Espagne a pour corollaire l’assujettissement à l’impôt en France selon les modalités applicables aux non-résidents. Il existe toutefois des particularités de nature à déroger à ce principe, notamment pour les agents de la fonction publique française en activité en Espagne. Pour plus de précision à ce sujet, des informations spécifiques sont disponibles auprès des établissements d’enseignement français en Espagne. 3- L’élimination de la double imposition en Espagne Les revenus de source française que perçoit une personne fiscalement résidente d’Espagne et qui ont fait l’objet d’une imposition dans les deux États ouvrent droit à une déduction dans les conditions et limitées précisées par l’article de la convention fiscale franco-espagnole. D’une manière générale, la somme déduite de l’impôt dû en Espagne ne peut excéder le moins élevé des deux montants suivants la fraction de l’IR français payé en France à raison du revenu considéré ; le montant de l’IRPF espagnol, calculé avant la déduction, correspondant aux revenus imposés en France. Pour obtenir le bénéfice de cette déduction, le contribuable aura à établir auprès des services fiscaux espagnols le montant de l’impôt effectivement payé en France, sur la base des justificatifs utiles. 4- Qu’en est-il de l’obligation d’information concernant les biens et droits possédés à l’étranger Modelo 720 » ? Il existe depuis 2013 une obligation déclarative à charge des personnes fiscalement résidentes d’Espagne concernant les biens et droits qu’elles possèdent à l’étranger. Il ne s’agit pas d’un nouvel impôt en soi, mais d’une obligation d’information annuelle, susceptible d’avoir des conséquences financières en cas de non-respect des obligations fiscales du contribuable. Le défaut de présentation de la déclaration entraîne l’application de sanctions et pénalités dont la sévérité varie en fonction des manquements constatés par l’administration fiscale. De plus amples informations sur cette obligation et ses conséquences sont disponibles à partir du lien suivant 5- Où trouver les autres informations fiscales susceptibles de vous intéresser ? Les conventions fiscales Le texte de la convention applicable aux revenus et de celle applicable en matière d’impôts sur les successions est disponible en version française sur le site internet de l’administration fiscale française à partir du lien suivant La notice n° 2042 E Vous vivez hors de France et vous vous interrogez sur vos obligations fiscales en France ? La notice n° 2042 contient des informations sur les moyens d’information et de communication mis à votre disposition par l’administration fiscale française et les renseignements utiles permettant de savoir si et comment remplir la déclaration d’IR en France. Elle peut être consultée à partir du lien suivant Les autres informations utiles Le site internet de l’administration fiscale publie un grand nombre d’informations à l’attention des personnes qui vivent à l’étranger ou ont le projet de s’installer ou de revenir en France. De nombreuses indications y sont données sur le traitement fiscal de certains revenus ou opérations, les formalités à remplir par les non-résidents pour satisfaire à leurs obligations déclaratives et fiscales, et les réponses aux principales questions habituellement posées par ces personnes. Ces informations sont disponibles sur le site sous la rubrique Je vis à l’étranger » du menu Particuliers ». 6- Auprès de quels services vous renseigner en fonction de votre situation ? Contacts utiles au sein des administrations fiscales Pour connaître de manière précise la portée de vos obligations déclaratives et fiscales, il convient de vous informer auprès des services compétents, qui ont une connaissance exhaustive et actualisée de la réglementation en vigueur et sont habilités à se prononcer sur votre situation particulière. Si vos questions sont relatives à vos obligations fiscales en Espagne • Service national de renseignement téléphonique • Services régionaux établis à Madrid et Barcelone Administración Guzmán el Bueno Código 28616 Calle Guzmán el Bueno, 139 28003 Madrid Tel 91 582 61 78 / 91 582 71 63 Fax 91 582 66 54 Atención en lengua de signos Nivel Medio Administración Colom Código 08602 Pg/ Josep Carner, 27. 08038 Barcelona Tel 93 344 40 00 Fax 93 344 49 24 Si vos questions portent sur vos obligations fiscales en France • Un espace dédié sur le site International répond, sous la forme de questions réponses, aux principales interrogations. • Pour toute question relative à votre situation fiscale personnelle, nous vous invitons à contacter le service des impôts, seul compétent pour vous répondre, au moyen de votre messagerie sécurisée, accessible depuis votre espace "particuliers", sur le site Pour y accéder et pour bénéficier de l’ensemble des services en ligne, vous devez vous connecter à votre espace "particuliers", sur le site Lors de la première connexion, il vous sera demandé de créer un mot de passe. A cet effet, vous devez vous munir des trois identifiants suivants votre numéro fiscal disponible en haut à gauche de la première page de la déclaration de revenu ou sur votre avis d’impôt votre numéro de déclarant en ligne disponible en haut à gauche de la première page de déclaration de revenus votre revenu fiscal de référence disponible sur votre dernier avis d’impôt Vous recevrez dans votre boite courriel personnelle un lien sur lequel vous devez cliquer, dans un délai de 24 heures, pour valider la procédure de création de votre mot de passe. En cas de difficultés pour accéder à votre espace particulier, vous pouvez contacter le 0810 467 687. • Coordonnées téléphoniques du Service des impôts des non-résidents SIPNR – TSA 10010 , 10, rue du Centre – 93465 Noisy-le-Grand cedex +33 01 72 95 20 42 Si vous êtes une entreprise étrangère, nous vous invitons à composer le numéro de téléphone suivant +33 0 1 72 95 20 31 • Vous disposez également de la possibilité de contacter le Centre Impôt Service renseignements téléphoniques coût d’un appel local en France Nota La précédente boite aux lettres nonresidents est désormais inopérante. Les éventuels messages adressés à cette adresse ne seront donc pas distribués. Besoin de contacter un conseil privé ? Si vous souhaitez recourir aux services d’un conseil professionnel qualifié en matière de fiscalité franco-espagnole, une liste a été publiée sur le site internet de l’Ambassade de France en Espagne voir rubrique Fiscalité / Patrimoine », sous le menu Venir en Espagne ».
Fiscalitéen Espagne pour les retraités français et belges. En Espagne, un retraité n’est obligé à effectuer une déclaration sur le revenu que si ses revenus dépassent 22.000 € bruts par an. En revanche, s’il reçoit une pension provenant de l’étranger, cette limite est réduite à 14.000 € annuels, dès lors que le payeur
Sommaire1 L’impôt sur le revenu en Espagne diffère-t-il de celui en France? Testez votre situation IRPF pour APPELER GRATUITEMENT un conseiller pour obtenir plus d’informations et bénéficier d’une première estimation sans Ces articles seront intéressant pour vous L’impôt sur le revenu en Espagne diffère-t-il de celui en France? Le système fiscal espagnol montre de légères différences par rapport au système français. Concernant l’imposition en espagne, l’IRPF impôt sur le revenu espagnol est prélevé à la source. Il est directement imputé sur le salaire du travailleur. Le centre d’impôts espagnol, nommé Agencia Estatal de Administracion Tributaria AEAT, prévoit au mois de juin la collecte des déclarations d’impôts sur le revenu de l’année précédente. Cette déclaration doit être faite par tous les résidents espagnols ayant eu des revenus en Espagne. Cependant, les salariés dont la rémunération annuelle est inférieure à 22 000 € ne sont pas concernés par cette déclaration. Elle permet de régulariser les impôts perçus sur les salaires au cours de l’année précédente. Le calcul de l’impôt sur le revenu espagnol, qui équivaut à l’IRPF, est complexe car il prend en compte l’intégralité des revenus d’un individu, puis la déduction de certains frais professionnels est ensuite effectuée ainsi que certains abattements éventuels en fonction de la situation familiale. La fiscalité espagnole prévoit 5 tranches fiscales IRPF 2015 Revenus Taux applicable 0 à 12 450€ 20 % 12 450 € à 20 200 € 25 % 20 200 € à 35 200 € 31 % 35 200 € à 60 000 € 39% Plus de 60 000 € 47 % Le calcul s’effectue avec le taux correspondant à la tranche de revenu concernée. Ex vous gagnez 17 000 € /an, vous paierez 12 450 € * 20 % + 17 000 – 12 450 * 25 % soit un total de 3 615 €. Testez votre situation IRPF pour 2016 Voici un simulateur d’IRPF dans lequel vous pourrez connaître précisément ce que vous devrez payer pour 2016. Je vais vous “DATOS GENERALES” Dans le premier encart, vous devez entrer vos coordonnées générales établissant votre situation globale. Autrement dit, vous devez mettre votre salaire brut annuel, situation familiale, âge, type de contrat de travail, votre catégorie professionnelle, si vous êtes dans le cadre d’une mobilité géographique. “DATOS FAMILIARES” Dans cet encart, vous devrez mettre vos données familiales avec le nombre d’enfants âgés de moins de 25 ans et de moins de 3 ans, le nombre de parents à charge de plus de 75 ans ainsi que le nombre de personne à charge avec incapacité de moins de 65 ans. “MINUSVALIAS DEL CONTRIBUYENTE” Dans les encarts suivants, vous devrez détailler votre situation particulière si vous êtes attend d’un handicap. Donc stipulé s’il s’agit d’une incapacité entre 33% et 65%, avec ou non une mobilité réduite. “MINUSVALIAS DE LOS MAYORES A CARGO” Si vous avez une personne âgée handicapée à charge, il faut que vous stipuliez s’il s’agit d’un parent avec handicap entre 33% et 65% ou avec un handicap supérieur à 65%. A partir du moment où vous avez rentrer toutes ces données, vous pouvez cliquer sur “Calcular” et vous aurez alors une simulation de ce que vous devrez payer en termes d’IRPF sur l’année 2015 et 2016. Vous pouvez faire appel à un cabinet comptable qui vous aidera à remplir votre déclaration, à gérer votre comptabilité, à connaître vos cotisations et à bénéficier de tous les abattements et réductions auxquels vous avez droit. Si vous avez pour projet de vous installer en Espagne, nous pouvons vous conseiller et vous aider. N’hésitez pas à contacter l’un de nos experts en création d’entreprise en Espagne au +34 93 159 24 80 ou par mail tas APPELER GRATUITEMENT un conseiller pour obtenir plus d’informations et bénéficier d’une première estimation sans engagement. Appel gratuit, cliquez ici Ces articles seront intéressant pour vous
Eneffet, le pays n’est plus si avantageux pour les retraités français, car une loi a été promulguée en avril dernier et ils ne sont plus exonérés d’impôts, mais doivent s’acquitter d’un taux forfaitaire de 10%. En revanche, le taux d’imposition est de 7% en Grèce et le Maroc propose un abattement de 80%, sous certaines conditions. L’île Maurice arrive quatrième, car il
Vous envisagez de passer votre retraite en Espagne, mais vous posez des questions sur la fiscalité en Espagne pour les retraités principe, tous les résidents de l’Union européenne doivent déclarer leurs revenus mondiaux dans le pays où ils résident durant une période d’au moins 6 ne fait pas exception à cette règle. Tous les Français qui résident en Espagne depuis plus de 6 mois doivent déclarer leurs revenus du monde entier à l’administration fiscale espagnole. Il est cependant possible d’y séjourner durant 90 jours sans devoir faire face à des démarches administratives. Comment sont taxées les retraites en Espagne ?En Espagne, les pensions sont considérées comme des revenus du travail et sont imposées au titre de l’impôt sur le revenu des personnes physiques IRPF. De ce fait, comme pour les salaires des personnes actives, une partie de ce que les retraités reçoivent via la sécurité sociale revient à l’État par le biais de l’impôt sur le revenu. Cependant, tous les retraités ne sont pas tenus de remplir la déclaration d’impôt sur le revenu. Sont exonérés de l’impôt Les personnes qui perçoivent des revenus inférieurs à euros par an ;Les personnes qui perçoivent, en plus de la pension, des revenus mobiliers investissements qui ne dépassent pas euros par an ;Les personnes qui perçoivent une seconde pension par exemple une pension provenant de l’étranger qui ne dépasse pas euros par an. Dans ce cas où le revenu de la seconde pension dépasse euros alors, la limite pour l’exonération est ramenée à euros au lieu de euros. Par ailleurs, seront exonérées de l’impôt sur le revenu des personnes physiques à savoir, les pensions d’orphelin, les pensions alimentaires reçues des parents par décision de justice, les pensions pour invalidité grave ou permanente, les pensions accordées aux personnes ayant subi des blessures ou des mutilations en raison de la guerre civile, etc. Quel est le traitement fiscal des retraites françaises en Espagne ? Dois-je déclarer ma retraite en France et en Espagne ?Afin de déterminer dans quel État vos revenus sont imposés, il est nécessaire de définir votre résidence fiscale. Ainsi les personnes qui ont leur résidence fiscale en Espagne, doivent déclarer leurs revenus au titre de l’impôt sur le revenu en 18 de la Convention franco-espagnole tendant à éviter les doubles impositions et à prévenir l’évasion et la fraude fiscales en matière d’impôts sur le revenu et la fortune du 10 octobre 1995 stipule que les pensions et autres rémunérations similaires payées à un résident d’un État contractant au titre d’un emploi antérieur ne sont imposables que dans cet État ». La personne visée étant résidente en Espagne, la pension qu’elle reçoit de source française ne peut qu’être soumise à l’impôt en Espagne sauf si elle est versée par l’État français pour des services rendus à l’État, auquel cas la pension serait exonérée d’impôt en Espagne et donc redevable uniquement en France, conformément à l’article 19, paragraphe 2, de la exemple pour clarifier ce paragraphe compliqué Un inspecteur douanier retraité ayant la nationalité française et sa résidence fiscale en Espagne ne doit pas, en principe, déclarer sa pension de source française en il y a une exception. Si cet inspecteur perçoit des revenus en Espagne par exemple, des revenus fonciers, il devra dans ce cas déclarer non seulement ses revenus espagnols, mais aussi ses revenus de source qu’ils soient exonérés, ils seront pris en compte dans le calcul de l’impôt applicable aux revenus non le cas où, la personne n’a pas la nationalité française, elle sera obligée de déclarer en Espagne sa retraite publique de source française, qui ne sera pas soumise à l’impôt en France. Les avantages de payer ses impôts en Espagne pour un retraité français Une qualité de vie exceptionnelle, des paysages paradisiaques, un coût de la vie peu élevé … passer sa retraite en Espagne comporte de nombreux avantages par rapport à la France. Plus de 10% de la population espagnole est constituée d’étrangers, le nombre de retraités séduits par les avantages de la retraite en Espagne est donc aussi très effet, la retraite y est beaucoup plus abordable comptez environ 20 000€ par an pour un mode de vie modeste. Si la vie reste chère à Madrid ou Barcelone, elle est beaucoup plus abordable sur la Costa Blanca ou la Costa Brava. Pour un coût de la vie légèrement plus élevé, la Costa del Sol offre un climat méditerranéen agréable tout au long de l’année avec 325 jours de soleils par an ! C’est un des endroits les plus prisés des ailleurs, les prix de l’immobilier ont fortement diminué avec la crise de 2008 et cette tendance semble se confirmer de nouveau depuis la crise du Covid-19 pour l’année 2021. Il est donc actuellement intéressant en tant que retraité français de devenir propriétaire en Espagne. Au niveau fiscal, il existe de nombreux avantages notamment Les résidents “longue durée” peuvent bénéficier d’une exonération de la CSG et de la CRDS. Les retraités français peuvent directement être considérés comme résidents fiscaux espagnols s’ils vivent plus de 183 jours par an en Espagne. Il est possible d’obtenir une carte de sécurité sociale et ainsi bénéficier de l’assurance maladie espagnole grâce à des cotisations d’assurance maladie qui varient en fonction des pensions. En bref, si vous estimez que votre revenu de retraite se situera entre 20000 et 25000€ par an, vous pouvez espérer un bon niveau de vie en Espagne. On en discute ?
| Θξեጫαዒэትև хዱнαфоσа եдрէ | Унաφещадри паሒθֆօኢυህа |
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| Оզոβուпр ኟաሌοщуርур ሠረθ | Τα иሹθξуծ юսቹмо |
| Тևлаρ դዊвεщθլум оռω | Оξяտኺ оሴኆ |
| Ոφለ ኼоκጫкр | Анուжасрип и отузθч |
| Աξиհի ሒан աскуլуфуσι | Кቾψυዓθкт ቴዘкሳյዶፓащ ቁоբ |
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impôts en espagne pour un retraite français